Charlesbourg — Pour vous présenter les candidats, Le Carrefour a envoyé des questions inusitées afin qu’ils se dévoilent sous un autre jour. Voici les réponses d’Élisabeth Germain, candidate pour Québec solidaire dans la circonscription de Charlesbourg.
Nom : Élisabeth Germain
Âge : 72 ans.
Votre surnom? Éli.
Dans quel quartier demeurez-vous? J’ai déjà demeuré à Charlesbourg dans Terrasse Bon-Air. Actuellement, je réside dans St-Sauveur.
Quel est le principal défaut de votre chef? Je cherche, je cherche…
Votre film préféré? Le secret est dans la sauce.
Quel transport utilisez-vous pour vous rendre à votre travail? L’autobus.
Quel est le dernier livre que vous avez lu? La ballade des adieux, de Lori Lansens.
Préférez-vous le porte-à-porte ou les soupers spaghetti? Le porte-à-porte.
Si vous étiez un fruit, lequel seriez-vous? Une mangue.
Qu’est-ce que vous rêviez de faire lorsque vous étiez petit? Être écrivaine.
Quel était le dessin animé que regardiez-vous enfant? Oh, ça fait longtemps, il n’y en avait pas beaucoup à la télé. Je riais bien avec Popeye et Olive.
Croyez-vous au retour des Nordiques?
Vous achetez des livres ou vous allez à la bibliothèque? Les deux. J’adore lire.
Votre filtre Instragram préféré?
Vendredi 16h30, vous empruntez l’autoroute Robert-Bourassa ou Henri-IV? Je laisse l’autobus me mener…
Avez-vous déjà vu un concert au Centre Vidéotron? Non.
Votre meilleur spectacle lors du dernier FEQ? La rue : j’adore me promener parmi les gens et les petits spectacles de rue.
La meilleure crème glacée est…
Quelle émission de radio écoutez-vous en vous levant? Je n’écoute pas la radio, je lis Le Devoir sur Internet.
Le nom de votre dernier animal de compagnie? Aurélie.
Le repas que vous cuisinez à la perfection… Le filet de porc.
Sociologue, Élisabeth Germain a fait de la recherche et enseigné avant de s’engager dans le mouvement communautaire au Bas-Saint-Laurent. Elle a œuvré dans les groupes de femmes, s’expatriant en Afrique de l’Ouest pour deux années en coopération internationale, une expérience particulièrement enrichissante. De retour au Québec, elle a travaillé dans un collectif national de lutte à la pauvreté, où elle a pu prendre la mesure des inégalités sociales affectant le Québec, notamment les femmes, voir à l’œuvre les facteurs appauvrissant et précarisant les populations, et explorer avec les gens des façons d’améliorer la vie.
Pour lire les engagements de Québec solidaire, consultez-les sur leur site Web.
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