Bruno Marchand réagit à l’accusation de voies de fait d’un policier de la SPVQ impliqué dans des altercations violentes l’an dernier à Québec.
Les altercations avaient eu lieu au resto-bar Le District Saint-Joseph du quartier Saint-Roch le 17 octobre et dans le secteur de la Grande-Allée le 20 novembre.
« Je pense que les gens aujourd’hui peuvent voir qu’il n’y a pas de cachettes, soutient le maire de Québec. Il y a des processus et ces processus-là prennent du temps. »
Il comprend que les citoyens auraient peut-être souhaités que ce qui est annoncé aujourd’hui le soit plus tôt. « Dans ces situations-là, il faut prendre le temps qu’il faut », laisse-t-il tomber.
De plus, il estime que le dossier démontre l’indépendance du Bureau des enquêtes indépendante (BEI) et démontre que le travail est bel et bien fait avec rigueur.
« Le processus suit son cours, affirme quant à lui le chef de l’opposition Claude Villeneuve. Ça a pris du temps, mais on savait que ces choses-là en prennent [..] On est content de savoir que les instances sont en travail. »
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