Le voyage du maire Marchand ne fait pas l’unanimité

Les membres du conseil, que ce soit l’administration Marchand ou l’opposition, reviennent sur le voyage du maire, son utilité et ses retombées pour la Ville de Québec qui suscite des avis mitigés.

Par Mélissa Gaudreault

Le maire revient sur son voyage à l’international de la semaine passée en disant qu’il en a retiré plusieurs choses. Par exemple, la ville de Paris l’a inspiré sur plusieurs éléments tels que la signalisation, la reconversion des bâtiments inutilisés, les rues consacrées aux enfants, le tramway et la mobilité, l’importance de la transparence de l’information et du rayonnement de Québec et ses bonnes relations avec l’international.

Claude Villeneuve est du même avis que le maire à propos du rayonnement de la ville à l’international et se réjouit de l’intérêt que porte le maire sur cet aspect. Il souligne cependant qu’il avait l’impression que le maire manquait de préparation pour son voyage et qu’il n’a pas assez abordé la Ville de Québec dans ses allocutions en fin de voyage.

Du côté de l’administration Marchand, Catherine Vallières-Roland déclare que la ville a justement adopté le projet de mission internationale pour améliorer la qualité de vie à Québec et que l’on voit déjà des améliorations et les retombées à la suite du voyage du maire et d’autres échanges réalisées avec les autres pays précédemment.

Sur le plan du transport, Eric Ralph Mercier demande d’adopter un moyen de transport adapté à notre climat et notre démographie en s’inspirant d’endroits nordiques similaire au Québec. Il propose un autobus hybride équipée pour les cyclistes.

Isabelle Roy affirme qu’il y a des déjà des projets en cours en lien avec les enjeux mentionnés par le maire, comme un projet de corridors scolaires pour améliorer la sécurité routière qui comprend 115 écoles.

Mélissa Coulombe-Leduc aborde à ce propos qu’il y a déjà des concertations afin de faire quelque chose avec les locaux inoccupés tels que les bâtiments patrimoniaux.