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Les défis de la production vidéo

jean christophe labonteProduire des vidéos intéressantes est un art qui se développe avec l'expérience. (Photo : Mélissa Gaudreault)

Saint-Roch – Jean-Christophe Labonté nous parle des défis auxquels il fait face dans son métier de vidéaste et de l’un de ses plus récents projets.

Par Mélissa Gaudreault

Diplômé du Cégep de Limoilou en audiovisuel, Jean-Christophe Labonté a toujours eu un côté créatif qu’il a pu mettre en pratique en devenant vidéaste.

Il est technicien en audiovisuel à l’Université Laval pour la Faculté des lettres et sciences humaines de jour depuis presque six ans et travaillent sur des projets plus artistiques dans ses temps libres.

C’est pour cette raison qu’il a créé sa propre boite de production appelée Tilikum media au début de l’année 2020 juste avant la pandémie.

Jean-Christophe Labonté souhaite ainsi se faire connaitre en tant que vidéaste afin de pouvoir recruter des clients pour des projets artistiques et peut-être éventuellement devenir vidéaste à temps plein.

Pour l’instant, il a quelques clients, mais pas encore assez pour vivre de ce travail. Il aimerait en avoir plus, mais il n’a pas beaucoup de temps et d’énergie à mettre à chercher des clients lui-même. Outre son contrat à l’université, il travaille aussi avec le Studio Tapis Rouge sur les projets des étudiants de l’école de cinéma.

Il aime faire des vidéos éducatives, artistiques, divertissantes et veut toucher et aider les gens avec ses vidéos.

Bien qu’il ait étudié dans le domaine de l’audiovisuel, il a surtout développé ses compétences en faisant des vidéos.

Des tutoriels vidéos de skate

L’un de ses plus récents projets personnels est celui des Mini rampes – Master Class, qui sont des tutoriels pour apprendre des figures de niveau avancé à des skateurs habitués.

« J’ai toujours fait des vidéos de skate depuis que je suis jeune, c’est une passion de jeunesse. Ce projet-là précisément c’est venu un peu par hasard. Un moment donné, j’avais acheté une caméra qui faisait des ralentis. J’avais filmé quelques scènes de skate et c’est comme ça que j’avais eu l’idée de faire un montage des séquences au ralenti avec une narration. La première capsule a été filmé en une soirée et on a décidé d’en faire d’autres et de les diviser par skateurs. » – Jean-Christophe Labonté

Concrètement, le projet est une série de vidéos mettant en vedette un skateur par vidéo qui montre comment faire une figure qui lui est propre (qu’on appelle pocket tricks).

Il a eu l’idée de faire ce projet pour apprendre comment faire de la rampe à des skateurs habitués à rouler mais pas nécessairement à faire des figures.

« C’est pour briser les stéréotypes qu’après un certain âge on ne peut plus faire du skate et pour faire découvrir une partie du sport que le monde ne connaisse pas », explique-t-il.

Les vidéos ont été filmés au skatepark dans Saint-Sacrement et la narration est en anglais mais il y a des sous-titres en français. De plus, Louis Grégoire de QcSkateBoardCamp, la seule École de skate à Québec, a collaboré au projet.

1 commentaire sur "Les défis de la production vidéo"

  1. ❤️❤️❤️

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