Marion Hébert, designer et illustratrice de Québec, nous parle de sa collaboration, entre art et cyclisme, avec l’entreprise Louis Garneau.
Par Estelle Lévêque
Avis aux cyclistes les plus élégants : Louis Garneau dévoile une collection à la croisée de l’art et du sport. Fondée par le cycliste du même nom à Saint-Augustin-de-Desmaures, l’entreprise Louis Garneau crée des vêtements et accessoires cyclistes.
En collaboration avec Marion Hébert, la marque propose exceptionnellement des produits en édition limitée. Originaire de la Rive-Sud et installée à Limoilou depuis plusieurs années, Marion est illustratrice et designer. Pour ce projet, elle réalise un visuel coloré et épuré, inspiré d’un paysage de montagnes à la tombée du jour.
Louis Garneau en édition limitée
Pendant deux semaines seulement, jusqu’au 4 août, les vêtements cyclistes sont disponibles en prévente. « Toutes les commandes seront traitées en même temps, après la fin de la vente. Regardez votre boîte aux lettres dès mi-septembre pour recevoir votre ensemble. On vous l’assure, l’attente en vaut la peine », affirme la marque.
Pour Marion, ce fonctionnement représente un réel atout dans le domaine de la mode. « Il n’y a que les items vendus qui vont être produits. Je trouve ça vraiment bien qu’il n’y ait pas de surplus, pas de surconsommation », souligne-t-elle.
Les vêtements de la collaboration Louis Garneau x Marion sont disponibles au lien suivant.
Emmener l’art ailleurs
Formée en arts visuels, design graphique et mode, Marion Hébert se passionne pour l’esthétisme au quotidien. Pour l’artiste, le regard d’un designer sait s’adapter a de nombreux supports, au-delà de sa pratique. « Les notions de forme et contre forme, la balance dans une composition, l’équilibre des couleurs ; tout ça se transpose et s’applique dans toutes les sphères du design, peu importe le support. »
C’est donc tout naturellement que cette collaboration avec Louis Garneau a vu le jour. Forte de son expérience en mode et de sa pratique artistique, la designer s’est prêtée au jeu volontiers. Désormais à son compte depuis l’automne 2022, elle offre, pour cette collection, une illustration unisexe qui rencontre déjà un beau succès. « Ce qui me plaisait dans ce projet, c’était de rendre l’art accessible d’une autre façon », affirme-t-elle.
Commentez sur "Quand l’art et le cyclisme se rencontrent à Québec"