«On ne peut plus prendre le froid pour acquis. Le Carnaval n’a pas le choix de se transformer, Il faut réfléchir, il faut adapter nos façons de faire. Si un jour, un palais de glace, ça ne se peut plus, il faut aussi considérer qu’il ne faut pas nuire davantage. On a notre rôle à jouer. C’est de savoir comment on s’améliore et comment on améliore la cause à long terme. On n’est pas dans le statu quo. Il faut réfléchir, il faut adapter nos façons de faire »,
plaidait Marie-Ève Jacob directrice générale du Carnaval de Québec lors d’une entrevue récente.
Ne pouvant plus compter sur l’hiver et ses éléments comme autrefois, le Carnaval devra se transformer et adapter ses façons de faire.
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