La compagnie Danse K par K récidive avec ses Solos prêts-à-porter dans une nouvelle série de courts-métrages. Ceux-ci seront présentés dans le Vieux-Québec du 11 au 24 février en soirée et nous plongeront au cœur de l’été.
« Le tandem de coréalisateurs formé d’Eliot Laprise et de Karine Ledoyen nous transporte dans des décors majestueux, de jardins luxuriants jusqu’aux dunes de sable de Tadoussac, encore vibrants du soleil et de la chaleur estivale. Chaque œuvre cinématographique, d’une durée de 3 minutes, est une réinterprétation d’un solo de danse initialement créé dans le cadre d’Osez! en solo, événement produit par Danse K par K à l’été 2020 », indique la compagnie de danse basée dans Saint-Roch.
L’expérience
« Après que la collection automne ait illuminé le cœur des passants des rues du Québec et de l’Ontario jusqu’à celles du Maroc, les Solos prêts-à-porter, collection été prennent l’affiche en première mondiale dans les vitrines des commerces locaux de la ville de Québec. C’est au cœur du mythique Vieux-Québec que démarre ce nouveau périple, dessinant un parcours de cinq stations à visiter dans l’ordre de son choix », ajoute l’organisme.
Les vidéos seront accessibles dans les vitrines de ces commerces de la Haute-Ville : Alphonse Cuisine & Cocktail, Caméléon Designer, Ernest Vieux-Québec et Souris Mini Vieux Québec.
On pourra y voir les performances de Louise Bédard, Stacey Désilier, Mecdy Jean-Pierre, Jessica Serli et James Viveiros du 11 au 24 février, entre 17h et 21h.
Pour accompagner l’expérience, un balado contenant la trame sonore ainsi qu’un court entretien inédit avec l’équipe artistique est disponible sur le site web de Danse K par K.
Le concept
Créé à l’automne 2020, le concept des Solos prêts-à-porter invite le public à recevoir la projection d’un court métrage de danse en se servant de la paume de ses mains comme un écran.
« L’idée, toute simple, contient le lyrisme d’un merveilleux dispositif. Le spectateur s’arrête à un endroit précis du trottoir, et en déposant un peu de neige sur ses mitaines, il devient le réceptacle de l’œuvre », explique la chorégraphe Karine Ledoyen par voie de communiqué.
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