C’est dans une ambiance électrique que Journey a joué au Centre Vidéotron. La formation s’est arrêtée à Québec dans le cadre du Freedom Tour qui souligne son 50e anniversaire.
Par Marie-Claude Boileau
L’heure était sans contredit à la nostalgie. Avec 50 ans de chansons, c’est tout un voyage à travers les années que nous a offert Journey. En première partie, Toto avait mis la table en interprétant entre autres, Afraid of Love, Rosanna et Africa.
La soirée a commencé avec Only the Young, puis Stone in Love. Le chanteur Arnel Pineda était tout en voix. Don’t Stop Believin’ a suivi. La pièce a été chaudement accueillie par le public. Avec raison puisque le groupe a offert une belle performance.
Le spectacle s’est poursuivi avec Lights, une chanson écrite par Steve Perry en hommage à leur ville d’origine, San Francisco. Puis, Pineda a enchaîné avec Send her my Love qu’il a dédié à toutes les femmes de Québec. Par la suite, Who’s crying now a permis de mettre en valeur la guitare de Neal Schon.
Lovin’, Touchin’, Squeezin’ s’est distingué par son côté plus rock’n’roll; les gens se sont levés pour danser. Jonathan Cain s’est notamment démarqué au piano. Il nous a offert un segment en solo.
Ses premières notes de la pièce Open Arms ont suscité de vives réactions. Les lumières des cellulaires ont rapidement allumé pour filmer la prestation. Le refrain s’est transformé en immense séance de karaoké.
Jonathan Cain a raconté que la chanson Faithfully a été écrite dans le cadre d’une tournée en bus en 1982 lorsqu’ils s’ennuyaient de leurs proches. « Ils paient pour la vie sur la route. Ça prend du dévouement, de l’amour et de l’amitié », a-t-il expliqué en la dédiant aux spectateurs. Ensuite, Jason Derlatka est venu interpréter Girl Can’t Help It.
Après un intermède de guitare avec Neal Schon, le groupe a poursuivi avec Separate Ways. Be Good to Yourself et Anyway You Want It a conclu la soirée de façon électrisante.
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